mercredi, décembre 20, 2006

Demain, super forme.


Ce blog est un peu en berne. En effet je n’ai plus que très peu de temps à lui consacrer car mes recherches sur l’avancée des recherches médicales quant à la greffe de foie accaparent l’essentiel de mes disponibilités.

Vendredi, c’était l’anniversaire de S. Je ne sais plus trop quel âge il peut bien avoir, je le classe dans la catégorie générique des « jeunes » ; catégorie qui comprend tout ce qui a environ 10 ans de moins que moi et qu’en général je méprise totalement au nom de ce que d’aucuns qualifieront de jalousie, mais je les emmerde. Comme je sens que ça ne va pas être le remake de « Caligula se fait Messaline », je passe d’abord au Windows où M. donne un concert de reprises des Stranglers pour me chauffer un petit peu. Je suis assez pressé car je ne veux pas arriver trop tard chez S. (les premiers arrivé étant les premiers servis,) et donc il faut que j’élève le plus rapidement possible mon taux d’alcoolémie afin d’arriver chez lui suffisamment lancé pour faire preuve de l’exubérance et de la vulgarité qui caractérisent en général mes propos et mon attitude dès ma quatrième Orval. Je convertis en deux temps trois mouvements le contenu de mes poches et je me mets en route.

S. habite un quartier où les places de parking sont aussi rares que les conférences-débats sur la sodomie à la télévision afghane. Je mets une demi-heure à stationner mon char d’assaut et j’arrive enfin chez lui. Je m’en doutais un peu mais l’ambiance est encore plus désespérante que tout ce que j’avais pu imaginer. Cinq ou six jeunesses papotent en sirotant des jus de fruits, le volume de leur conversation ne couvrant même pas celui de la musique qui pourtant semble être diffusé par un casque de walkman. Comme je venais d’un soirée peuplée d’ex-punks avinés et pour la plupart défoncés, j’ai un peu de mal à encaissé le contraste et je décide d’aplanir cette déconvenue en me jetant sur (ou plutôt dans) le frigo pour affiner davantage mon état d’ébriété qui sans atteindre des niveaux vraiment compétitifs, commence tout de même à devenir intéressant. Après une petite trentaine de minute, C. arrive enfin et après être arrivé aux même conclusions que les miennes quant au déroulement probable de cette soirée, il entreprend de rattraper son retard. Je ne suis cependant pas décidé à le laisser combler la distance sans réagir et en moins d’une heure nous sommes tous les deux complètement bourrés. Entretemps sont arrivés quelques renforts du côté des « jeunesses à jus de fruits » mais comme notre état ne fait qu’empirer et que notre humour s’en ressent, nous avons déjà fait fuir une partie de l’assistance qui semblait avoir flairé le danger. C’est pas qu’on se fait chier mais on irait bien faire usage de notre ivresse dans un endroit un poil plus sauvage.

On redescend sur le centre ville. Retour à la soirée au Windows. Les concerts sont terminés mais nous trouvons un public qui a selon toutes les apparences éclusé grosso modo au même rythme que nous. M. nous rejoint. A partir de ce moment là je n’arrive plus vraiment à savoir si la bière que j’ai en main est la même que celle que je buvais quelques minutes avant ou si c’en est une autre qui vient de me tomber dans les mains. Je sais simplement que je peux boire en continu sans trop me soucier de la pénurie. Les miracles de l’alcoolisme. Nous décidons finalement de changer de crémerie et C. et M. partent devant. Moi je reste encore un moment pour apporter une dernière touche de finition à mon ivrognerie avant des les rejoindre. A la sortie du Windows je suis obligé d’appeler C. au téléphone pour qu’il m’aide à recomposer les événements qui ont conduits au stationnement de ma voiture car elle demeure introuvable, tant dans la rue que dans mes souvenirs.
Je les rejoins finalement à pied, reportant à plus tard la recherche de mon véhicule. La suite c’est assez obscur et pas trop racontable, imaginez une seconde que le gars qui a retrouvé trois litres de vomi sur le pas de sa porte lise ce blog.

Samedi matin. Super forme. Je passe la journée entre Maalox et Alka-Seltzer, mes amis pour la vie. Le soir je me décide à faire un saut au marché de Noël de Berchem. Excellente idée car d’une part je tombe sur une dizaine de connaissances mais en plus de ça, je les trouve attablés devant une échoppe qui vend du champagne à 20€ la bouteille. Chacun ayant payé ses deux bouteilles, l’ambiance commence à être vraiment sympa et à s’écarter un tantinet de la gentille ambiance familiale qui devrait en principe régner dans ce genre d’endroit, même si on arrivera finalement à empêcher F. de se mettre à poil. Une fois de plus, les détails de fin de soirée sont consignés dans un document caché dans un coffre dont on a jeté la clef au fond d’un puits.

Dimanche super forme. Je passe la journée entre Maalox et Alka-Seltzer, mes amis pour la vie. L’après-midi je me rends avec les enfants à Overijse pour le cyclo-cross. Nous passons d’abord chez D. pour boire une coupe de champagne avant de nous rendre sur la parcours. Il fait assez froid et C. qui m’accompagne a l’excellente idée d’étudier les mérite comparés de la Pils et du Glühwein en matière de réchauffement corporel. Vainqueur, le Glühwein.

Dimanche soir, je suis fermement décidé à me coucher tôt mais mon téléphone sonne vers 19 heures : une urgence professionnelle, présence requise et indispensable. Je me traine jusqu’au bureau, pensant avoir du mal à rester éveillé mais heureusement j’arrive à mettre la main sur des cannettes de bière sans doute abandonnées là par un des déménageurs qui a travaillé sur place le week-end. La soirée finit tard mais cette fois l’ambiance est définitivement plombée car je n’arrive pas à résoudre le problème pour lequel j’avais été appelé et aussi un peu car il n’y définitivement plus rien à boire.

Lundi super forme…

PS : je ne suis pas sûr que j’aurai le temps cette semaine pour écrire une lettre d’insultes à celui qui me demandera combien de kilomètres j’ai parcouru à vélo au cours de ce week-end.
PPS : apparemment la voiture m’a retrouvé toute seule.

mardi, décembre 12, 2006

Hold-up


Après la météo humide qui avait sévi tout au long de la semaine, le week-end s’annonçait plus typiquement hivernal : froid et sec. Samedi matin j’avais ambitionné une longue sortie mais des impératifs familiaux ne m’ont permis qu’une sortie de deux heures. Contrairement à ces dernières semaines, je n’ai pas du trop me pousser pour sortir car c’est avec un plaisir certain que je retrouve l’hiver. Les sorties « rafraîchissantes » comptent parmi mes préférées.
Dimanche je me suis décidé à me lever un peu plus tôt pour aller à Tubize. Bien m’en pris car outre l’ambiance qui fut excellente, la sortie fut des plus sympathique. Les deux degrés observés au départ m’ont un peu inquiétés car depuis l’année passée je crains les sinusites consécutives aux heures passées à affronter le vent hivernal mais le vent d’ouest et le soleil ont vite fait de réchauffer l’atmosphère et je pense qu’il a du faire 7 ou 8 degrés de moyenne. On a roulé plutôt tranquille si ce n’est dans le dernier bout droit vers Tubize dans lequel P. n’a pas pu s’empêcher de mettre la plaque. Intelligemment, je me cale en troisième position dans la roue de Ph. et sur la dernière bosse je mets une mine qui laissera tout le monde sur place à part D. qui s’accroche dans ma roue, à mon avis quelqu’un a du lui passer le numéro du bon docteur Fuentes. On rentre avec une moyenne de 30, pas vraiment élevé mais c’est l’hiver et A. s’énerve assez vite dès qu’on augmente le rythme. C’est assez frustrant mais d’autre part il a probablement raison de veiller à ne pas se cramer en décembre et de vouloir patiemment construire sa base de foncier jusqu’en février.
L’après-midi, contrairement à ce que j’avais pris comme résolution, je me suis laissé aller à regarder le cyclo-cross. Il faut dire que Wellens l’avait emporté vendredi en Italie et j’en avais conclu, hâtivement, qu’il y aurait un peu de suspense ce dimanche. Grossière erreur, malgré un départ catastrophique, Nys l’emporte sans concurrence, en donnant l’impression d’être venu prendre l’air.
Le soir, je suis allé voir le hold-up de l’année au stade Machtens où Anderlecht est venu s’emparer de trois points non mérités au vu de leur piètre prestation. Je ne m’en suis toujours pas remis, je suis même franchement dégouté. Encore une claque à aller prendre à Genk et c’est la trêve. Au rythme où les choses se passent, on passera la seconde moitié de championnat à se battre pour le maintien.
Je crois pouvoir dire que mes problèmes de dos appartiennent définitivement au passé (en attendant malheureusement la prochaine crise) et il s’ensuit un sérieux accroissement de ma motivation ; ce soir CAP…la route tremble déjà.

jeudi, décembre 07, 2006

Même pas mal


Excellent séance de CAP hier ! Ma première intention était de sortir le vélo ais j’avais différents petits soucis professionnels à régler, si bien que l’heure était trop avancé que pour permettre une sortie à vélo digne de ce nom. C’est d’ailleurs un des grands avantage, outre l’entretien e la condition et la contrôle du poids, de la CAP, c’est la facilité d’effectuer une sortie pratiquement à toute heure, à l’improviste et dans un timing relativement serré. Ainsi, en 1h15/1h30 de CAP il y a déjà moyen de faire une séance intéressante alors qu’à vélo c’est largement insuffisant pour travailler les qualités d’endurance.
Mon parcours commence à se peaufiner, j’ai encore ajouté une petite variante issue du parcours VTT du Bloso et dès que je serai capable d’aborder des sorties d’1h30 à un rythme intéressant, j’ajouterai la boucle qui longe « d’Arconati », ce qui devrait porter la distance aux alentours de 16/17 kilomètres.
Je commence à avoir une foulée plus légère, plus « emmenée » et par conséquent moins pénalisante d’un point de vue tant musculaire qu’articulaire. Les pulsations baissent doucement pour un rythme équivalent à celui des sorties précédentes. Même si cette période de l’année devrait être essentiellement consacrée à la pratique du foncier, la tentation est grande de travailler des zones plus « dures » mais j’ai lu plusieurs avis contradictoires à ce sujet, notamment en ce qui concerne l’augmentation de la puissance. Je crois que je vais surtout me fier à mes sensations et à mon expérience, je n’ai pas commencé hier après tout et mon avis sur la question doit bien valoir celui ‘un autre. Donc, travail du foncier certes, mais un petit « rappel » en zone rouge de temps en temps.
Tout irait bien dans le meilleur des mondes si je n’avais pas encore et toujours un petit souci au niveau des lombaires, rien de comparable avec les deux dernières semaines mais la vigilance s’impose. J’ai par ailleurs constater que dans la demi-heure qui suit les sorties CAP, je tousse un petit peu et j’ai la désagréable sensations de devoir sortir de l’eau de mes poumons. A surveiller également.
J’avais eu une petite alerte quant au poids en début de semaine mais tout est rentré dans l’ordre, même mieux que çà ; j’ai cependant un peu de mal à comprendre ce qui peut occasionner des variations de l’ordre du kilo d’un jour à l’autre alors que mon activité est régulière, mes repas équilibrés et jamais trop copieux. Je ne sais pas encore à quel poids je terminerai l’année mais ce qui est d‘ores et déjà certain c’est que je suis actuellement plus de 4 kilos sous mon poids le plus élevé observé cette année.
Encore quelques semaines avant l’heure des bilans: poids, pulsations, kilomètres, sensations… la tendance par rapport à 2005 semble montrer une évolution positive à tous points de vue : des détails (et des chiffres) bientôt, même chaîne, même heure.

mercredi, décembre 06, 2006

Pyrrhon au poteau !


Saint-Nicolas est passé à la maison cette nuit et il a bien gâté les enfants. Au cours des dernières semaines, nous avions un petit problème avec le grand Saint :F. , 8 ans commencent à émettre de sérieux doutes (sur la prune) et par mesure de rétorsion (on l’a quand même bien arnaqué au cours de toutes ces années) essaie de convaincre H., 2 ans, que Saint-Nicolas c’est un peu comme le monstre du Loch Ness qui ferait trempette dans le cimetière des éléphants. Pourtant ce matin au lever, à la vue des cadeaux devant la cheminée, tout scepticisme a disparu pour faire place (pour la dernière fois peut-être) à un bon vieil émerveillement de premier degré. Mince, il a respecté le bon de commande à la lettre le père Nicolas : lecteur MP3, train en bois et ses rails, tome 2 des inédits du Petit Nicolas, bonbons, livre sur les Chevaliers,… La chevalerie c’est le « hot topic » de H. pour le moment ; hier soir dans son lit il chantait «… goûtons voir si le vin est bon… » à tue-tête ; on est pas sorti du bois.
Le plus gâté cette année par Saint-Nicolas sera cependant J. qui a reçu une petite Alix de 49 centimètres qui se porte bien, merci. Hier soir il m’a appelé pour me faire part de ses angoisses par rapport à la réaction négative potentielle de Ja. Je l’ai rassuré quant à la probabilité d’une part d’infléchir la situation vers un heureux dénouement et d’autre part ma capacité de calmer ses inquiétudes par l’absorption d’Orval en grande quantité. Thérapie que je compte lui administrer en fin de semaine.
Ce matin j’ai étrenné le bel abonnement STIB tout neuf que je me suis fait payé hier par mon employeur. 25 minutes port à porte tout en lisant le journal et en écoutant les Fiery Furnaces. Le luxe total.

Mes douleurs lombaires ayant définitivement disparu, je reviens dès aujourd’hui à une activité normale (ou exagérée c’est selon les points de vue) et dès cet après-midi ça va chier grave : j’ai comme une bonne vieille frustration à faire taire à coups de kilomètres. Je ne sais simplement pas encore de quelle manière je vais les parcourir: vélo, CAP ? Il se pourrait même que j'aille peaufiner ma musculature à la Lou Ferrigno (en plus musclé) à la salle en fin d'après-midi.

mardi, décembre 05, 2006

Vélorution


Il faut que je trouve une parade à cette situation matinale absolument infernale. Ce matin j’ai une fois de plus mis près d’une heure et demie pour me rendre au bureau. Il n’est pas inutile de préciser que j’habite à moins de 10 kilomètres de mon lieu de travail et donc à peu de chose près , en marchant d’un bon pas, je mettrais le même temps. Si je ne devais pas déposer les enfants à la crèche/école il y longtemps que le voiture passerait ses journées à s’ennuyer toute seule le long du trottoir, attendant tristement le retour de papa pour sa promenade vespérale vers la grand surface du quartier. Cette situation n’a certes rien d’exceptionnel et est partagée par des milliers d’autres automobilistes mais il ne sera pas dit que je serai le dernier à avoir réagi et à avoir changé mes habitudes.
Je ne vois a priori qu’une solution : le vélo. Le scooter ce n’est pas mal non plus mais je trouve que ce n’est pas assez radical. J’ai été tellement dégouté ce matin que j’ai basculé du côté obscur de la force. J’ai la ferme intention de devenir un intégriste de la combinaison vélo/transports en commun. Le scooter est cher, implique des frais annuels, est davantage la cible des voleurs, coûte cher à entretenir (et à réparer le cas échéant),consomme et pollue tandis que le vélo a un côté « one shot » plus que séduisant en termes de coûts.
Dès cet après-midi, je me mets à la recherche de l’engin qui va me transporter pour les mois et les années à venir. J’ai déjà aperçu plusieurs modèles à même de me satisfaire mais malheureusement je m’étais fait une fausse idée du prix des « city-bikes » . Il me faudra débourser apparemment plus de 500€ pour acquérir un vélo digne de ce nom (je ne vais quand même pas rouler sur une daube non plus) et c’est 100 à 150 de plus que ce que je m’étais figuré. On reste malgré tout dans une catégorie de prix qui nécessitera moins de lobbying familial pour convaincre que les 3 ou 4000€ de mes deux autres vélo.

lundi, décembre 04, 2006

Pimp my run


Ça y est je me suis payé de nouvelles chaussures. Mes anciennes devaient avoir pas loin de dix ans et les semelles étaient devenues tellement lisses que dans les sous-bois, je passais plus facilement pour Philippe Candeloro que pour Emil Zatopek.
Je n’ai finalement pas eu l’occasion d’aller rouler vendredi matin et je suis donc parti pour une longue séance d’essai de mes nouvelles chaussures en fin d’après-midi. Magnifique. Je me demande comment j’ai pu courir aussi longtemps avec mes anciennes , pourquoi ne pas avoir directement couru en tongs ou en sabots ? J’ai opté pour un modèle « trail » avec un relief de semelle très prononcé, ce qui conviendra parfaitement à ma pratique exclusivement hivernale de la course à pied. Le soutien est également plus accentué que dans une chaussure plus classique, ce ne sont donc pas des bêtes de compétition mais mes chevilles et mes genoux me remercieront sans aucun doute.

Le week-end fut particulièrement maussade. L’IRM annonçait: « Dimanche, il fera très mauvais et même tempétueux », c’est dire. Samedi matin, malgré une grosse flemme, je suis finalement parvenu à réunir suffisamment de motivation pour aller rouler et bien m’en pris car d’une part, ce fut une chouette sortie et d’autre part ça m’a permis de profiter du meilleur moment du week-end qui allait pour le reste s’avérer très pluvieux. Je suis parti chercher les bosses du côté de Lot et je suis rentré avec 70 bornes parcourus avec une gentille moyenne compte tenu du vent et du fait que j’avais pris le VTT.
Samedi soir, football. Je ne m’étendrai pas sur la piètre prestation du FC Brussels, ça fera l’objet d’un post ultérieur. En tout cas, des soirées pareilles on les passe plus volontiers au chaud chez soi à regarder une quelconque niaiserie à la télé. Une fois rentré à la maison, j’avais prévu de me reposer une petite heure avant de rejoindre les potes à la Bulex mais le jeu lénifiant pratiqué au stade Machtens a eu raison de mon enthousiasme si bien qu’à 22.30 je me suis endormi devant les X-Men III, qui en terme d’ennui n’ont rien à envier à la bande à Cartier.

Dimanche, c’est la tempête. Il fait relativement sec mais je ne le sens pas d’aller ma taper la tête contre un mur de vent avec mes lombaires encore toujours en délicatesse dès que je mets de la puissance à vélo. Après une petite heure de bricolage à la maison, j’opte pour une sortie « course à pied » au Laarbeek. Les conditions de terrain m’ont permis de constater que mes nouvelles chaussures sont de vrais 4x4, je passe partout tranquille, un vrai bonheur. Par contre, je me traine littéralement, tant j’ai mal aux cuisses. Manifestement, la musculature ne s’est pas encore complètement habituée aux enchaînements CàP, vélo. Ce qui est étonnant c’est que mes douleurs au dos ne me pénalisent pas quand je cours ?
L’après-midi, ce n’est pas compliqué, je n’ai ni regardé ni enregistré le cyclo-cross. Le résultat m’est tout de même tombé sous les yeux en surfant et sans surprise…Nys l’emporte. Ce type aura définitivement rendu ennuyeux au possible une discipline que je trouvais par sa brièveté et ses multiples rebondissements assez agréable à regarder.

La semaine s’annonce particulièrement dégueulasse, je m’attends donc à beaucoup courir. A vrai dire ça ne me dérage pas, je suis mordu. J’envisage même d’approfondir un peu et d’essayer d’en faire un peu plus que de simples sorties en endurance pure. Je ressortirais volontiers les spikes pour acquérir un peu de rythme.