lundi, novembre 05, 2007

What a drag it is getting old.

Me voilà donc entré dans la quarantaine. J'ai d'emblée inauguré cette nouvelle tranche de ma vie par un rage de dents de compétition et finalement assez peu différente de celles qui avaient parsemé les décennies précédentes. Rien de neuf sous le soleil quoi. J'entretiens avec mes dents une relation difficile depuis de temps immémoriaux, une sorte de vendetta corse dont même les anciens n'arrivent plus à se souvenir de la cause exacte. Après deux passages chez le dentiste, les choses sont revenues à la normale. Le petit week-end à la mer avec les potes à l'occasion de mon anniversaire aura malheureusement été partiellement gâché par l'intensité de la douleur. Je n'en ferai donc pas le compte rendu détaillé...certains me remercieront sans aucun doute

J'ai enchainé cinq jours d'entraînements, ce qui ne m'était plus arrivé depuis un certain temps. Résulta des courses, ce matin je suis lessivé. Je vais prendre deux petits jours de repos et voir d'ici mercredi si les dieux de la surcompensation sont avec moi. Malheureusement, je ne pourrai vraisemblablement pas faire usage de mon petit boost de condition à Beringen ce samedi car le week-end sera consacré aux premiers travaux que nus allons effectuer dans notre nouvelle maison. Petite déception jeudi lors de ma sortie VTT: la petite côte pavée à Itterbeek a été refaite et se passe sans difficulté technique particulière...du gâchis selon moi car cela ma prive de la satisfaction d'occasionnellement la passer sans mettre pied à terre. Pour le reste, j'ai eu l'occasion de constater hier qu'on ne prend pas impunément des antibiotiques et des antidouleurs "puissant" pendant dix jours sans en payer le prix: les dix kilomètres de càp effectués hier à une allure d'enclume se sont chargés de me le rappeler.

J'ai rendez-vous jeudi avec mon futur, si tout se passe bien, employeur. Après près de deux mois de contacts, cinq interviews, diverses tergiversations, les choses semblent enfin se mettre en place. Il ne restera plus qu'à remettre ma démission à mon employeur actuel ce qui constitue une des étapes les plus douloureuses de tout le processus. J'avais rejoint la société dans laquelle je travaille actuellement sur base de la relation particulière qui m'unissait à certaines personnes/collègues et il ne sera pas facile de négocier la sortie tout en évitant que certaines de ces personnes ne vivent mon départ comme une trahison d'ordre personnel. Il faudra donc que je fasse preuve d'un tact certain. L'autre écueil de l'affaire c'est le concert de J. mercredi soir. Il faudra là aussi que fasse preuve de tact car dans le cas contraire, le risque est grand d'encore sentir la bière à l'heure de la signature de mon nouveau contrat jeudi.

Nouvelle décennie, nouveau boulot, nouvelle maison...il flotte dans l'air comme un parfum de nouveau départ. Je me demande si je ne me paierais pas un nouveau vélo...

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Vu ton âge grandissant et le manque croissant de temps d'entraînement.... pour le nouveau vélo tu devrais peut-être penser à un vélo...moteur ?! :-D

Rascal a dit…

J'y ai déjà pensé mais je crains qu'un vélomoteur ne fasse baisser mes moyennes !!!

Anonyme a dit…

Un tout grand merci à ta rage de dents, elle me permet d’encore être invité à ces soirées/week end de folie…..